Delphine de Custine (18 mars 1770 – 13 juillet 1826). Source : Blog. Les amis de Custine. Lire aussi la chronique sur la Faïencerie de Niderviller, fondée en 1735.
« Née de Sabran, Delphine de Custine appartient à la plus fine aristocratie de son temps. Elle marque la Révolution française par le courage dont elle fait preuve au moment de défendre son beau-père, le général Adam-Philippe de Custine, face au tribunal révolutionnaire et d’affronter les épreuves de la mort de son époux et de l’emprisonnement aux Carmes ».

« Séduite par sa beauté autant que par sa bonté, Madame de Staël en fait l’héroïne de son premier roman Delphine (1802), et le grand écrivain Chateaubriand en tombe éperdument amoureux. Sur les conseils de ce dernier, elle achète le château de Fervaques en 1803 où elle s’adonne à l’éducation de son fils Astolphe, la peinture qu’elle pratique avec un talent que la portraitiste Elisabeth Vigée-Lebrun lui reconnaît, l’entretien du parc et des intérieurs du château, mais aussi où elle reconstitue un véritable petit salon littéraire et artistique où séjournent Chateaubriand, le poète normand Chênedollé, le musicien Henri-Philippe Gérard, et bien d’autres. Son vœu de reposer pour l’éternité à l’église Saint-Aubin, près du château de Fervaques, sera respecté ».
Le bouquet de Delphine, Manufacture de Niderviller, 1787. Matière et technique : porcelaine, modelage, assemblage, pastillage, biscuit. Musée du Pays de Sarrebourg (57).

Merci, je complète ma page. Et j’informe des Arédiens.
Pingback: Faïence et porcelaine, histoire | saint yrieix la perche