Vendredi 5 septembre 2014, 17 heures, université d’Avignon. La Fédération Nationale des Associations Représentatives des Étudiants en Sciences Sociales – ARES, droit, économie, gestion, administration économique et sociale – organise un colloque sur l’avenir de l’enseignement des Sciences Sociales, dans des universités en mouvement. Vademecum introductif.
Entre les débats sur la sélection à l’entrée de l’université, le contingentement, la concurrence de l’enseignement privé, l’avenir de l’étude des sciences sociales est de plus en plus incertain. L’ARES profite donc de son week-end de rentrée, de la présence de ses élus et de ses administrateurs pour évoquer ces différentes problématiques.
Pour y répondre, et tenter d’apporter des éclaircissements, nous aurons la chance de compter parmi les intervenants à ce colloque, Rachel-Marie Pradeilles Duval, du service de la stratégie de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle à la DGESIP, Sandrine Clavel, Présidente de la conférence des doyens en droit (interview par l’ARES), Pierre Dubois, blogueur Histoires d’universités.
Questions posées par l’ARES. Les chocs exogènes subis par le modèle français d’enseignement supérieur des Sciences sociales : quels impacts tangibles sur l’imaginaire collectif des filières ?
Faire entrer nos Université dans le XXIIe siècle : quelles solutions peuvent-être apportées par les différents acteurs de l’Enseignement supérieur ?
Le site de l’ARES est fort bien fait et riche en informations. Les communiqués de presse sont nombreux. Parmi les propositions et demandes. Un semestre commun aux études de sciences sociales : une solution de l’ARES pour une meilleure orientation des étudiants (communiqué du 13 avril 2014).
Les étudiants en droit demandent une place au Conseil National du Droit (communiqué du 29 juillet 2014).
Histoires d'universités 
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