Archives de Tag: Précaires

Condorcet. BU ouverte 2J / 7J

Suite de la chronique du 4 décembre 2021 : Campus Condorcet, un chaos durable

Poursuite du mouvement social au Campus Condorcet. Communiqué du SNPTES (14 décembre 2021) : compte rendu de la rencontre avec la Directrice générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle (Madame Anne-Sophie Barthez), confirmation des revendications et prolongation du préavis de grève jusqu’au 15 janvier 2022.

Le communiqué du SNPTES aborde la question du GED. Vous avez dit GED ? GED = l’acronyme insensé de Grand Équipement Documentaire. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Choisir BNUP (Bibliothèque Nationale et Universitaire de Paris), par analogie avec deux autres BU nationales, la BNF et la BNUS (Strasbourg).

Qu’apprend-on sur ce GED ? Qu’il est insuffisamment ouvert au public. Le communiqué du SNPTES revendique la « fin du jeu de passe de balle entre le MESRI et les établissements membres, en ce qui concerne l’annonce de postes dédiés au GED. Le constat est partagé, il manque 40 Emplois Équivalent Temps Plein. Le GED est le joyau des SHS en France, il se doit d’être ouvert 5 jours / 5 jours. Les chefs d’établissements doivent rendre d’ici cette fin de semaine une copie avec un nombre significatif de postes offerts au GED pour garantir cette ouverture. Les profils de postes restent à définir à ce stade »… « 20 postes GED et 5 en support. Ce sont des conditions « sine qua non » pour réussir à ouvrir plus de 2 jours par semaine !

Pour info, la BNUS Strasbourg est ouverte 7 jours sur 7, 80 heures par semaine.

Commentaires fermés sur Condorcet. BU ouverte 2J / 7J

Classé dans AA. Universités : billets d'humeur, C. Ile-de-France, E. Arts Lettres Langues, E. Sciences humaines et sociales

Campus Condorcet, un chaos durable

Le Campus Condorcet Paris-Aubervilliers (Cité des sciences humaines et sociales) a été créé par le décret n° 2017-1831 du 28 décembre 2017 relatif à l’organisation et au fonctionnement de l’établissement public.

Le projet date en fait de 2008. Le chaos d’aujourd’hui a demandé beaucoup de temps pour se mettre en place. Surprenant !

Deux parties dans cette chronique. Page 1.  Revendications des personnels et préavis de grève. Page 2 (cliquer ici). En savoir plus sur le Campus : le projet stratégique, les 11 établissements, les instances (conseil d’administration, comité de site), le rapport d’activité 2020.

La Campus Condorcet fêtera son 4ème anniversaire le 1 janvier 2022. Les personnels n’en peuvent plus d’alerter leurs tutelles sur de graves dysfonctionnements. Leur mécontentement est croissant (grève reconduite du 1/12 au 15 janvier 2022). Ils demandent à ce que leurs revendications légitimes soient satisfaites rapidement.

Préavis de grève. Les revendications du personnel de l’Établissement Public du Campus Condorcet restent inchangées. Signer la pétition

  • Donner les moyens humains à l’EPCC de remplir les missions et objectifs qui lui sont confiés par le ministère et les établissements membres, en augmentant le plafond d’emploi et la masse budgétaire salariale,
  • Pérenniser l’emploi au sein du Campus Condorcet : permettre l’embauche directement par l’EPCC d’agents fonctionnaires et mettre fin à la précarité des contrats contractuels qu’ils soient agent EPCC ou mis à disposition (fin des CDD, des contrats de projet, etc.),
  • Proposer des rémunérations correspondant aux grilles votées par le CA, à la réalité des postes occupés et aux expertises des agents,
  • Proposer une compensation salariale suite à la mise en place du règlement du temps de travail,
  • Octroyer une prime annuelle exceptionnelle pour l’ensemble des agents travaillant sur le projet de Campus (UMS compris) suite à l’ouverture des bâtiments du GED et de l’EHESS.

« Les personnels en fonctions à Condorcet (EPCC) sont à bout ! Ils ont tenu et réalisé leurs engagements sur 6,5 ha ; leurs tutelles, non ! Réponses floues, différées et insuffisantes :

  • Politique indemnitaire, horaires supplémentaires non compensés,
  • Politique des carrières pour les titulaires et contractuels selon les établissements d’origine,
  • Coexistence ingérable de personnels affectés par les 11 établissements, mis à disposition et gérés selon des principes indemnitaires ou de carrières différents (! ), créant l’ambiance dysfonctionnelle qu’on imagine !
  • Graves retards du nombre de postes affectés : 50% insuffisants au Grand équipement documentaire  qui abouti à ne pouvoir ouvrir le cœur scientifique de Condorcet que… deux jours par semaine !! Insuffisances pour les autres directions (architecture patrimoine, informatique et autres…) !
  • Une petite centaine de personnels Biatos au lieu des 200 nécessaires, ce qui explique en partie aussi un management impossible, les départs et le sur-travail associés !

Mon analyse. Les personnels et leurs syndicats, les étudiants peuvent-ils espérer gagner ? Je ne le crois pas. Les Sciences Humaines et Sociales n’ont jamais été la priorité scientifique des pouvoirs publics. Le décret de décembre 2017 prévoit de fait une organisation et un fonctionnement structurellement chaotiques : plusieurs sites géographiques, 11 membres fondateurs, un conseil d’administration dans lequel les personnels enseignants, chercheurs, techniciens et administratifs et les étudiants sont minoritaires, un comité de site composé des douze représentants élus du CA mais qui n’est que consultatif, fort peu de personnels en propre et donc des inégalités objectives de traitement.

De plus, le président de l’EPCC, Jean-François Balaudé, a moins de pouvoir que celui qu’il avait quand il était président de Paris X Nanterre de 2012 à 2020. Pourquoi d’ailleurs a-t-il accepté ce strapontin ? Chroniques du blog sur JFB

Commentaires fermés sur Campus Condorcet, un chaos durable

Classé dans AA. Universités : billets d'humeur, C. Ile-de-France, E. Sciences humaines et sociales

Paris 3. Le mur des congédiés

Envoi du Bureau SGEN de la Sorbonne Nouvelle Paris 3, Lundi 22 novembre 2021. Informations syndicales Sgen-cfdt. Pour le cinquantenaire de la Sorbonne Nouvelle, la direction de l’université enterre le dialogue social. Envoi par courriel aux personnels de l’université.

« Le président Jamil Dakhlia a annoncé au Conseil d’administration du 29 octobre qu’il engageait une procédure judiciaire contre les syndicats SGEN CFDT et CGT FERC Sup. C’est la première fois en cinquante ans d’histoire de la Sorbonne Nouvelle que la direction de l’université se tournerait vers les tribunaux pour faire taire les syndicats. En cause, le Mur des congédiés que le président et ses proches ne supportent pas ».

A ses contractuels (et aux autres), la Sorbonne nouvelle peu reconnaissante. Plateforme mise en place, modérée et gérée par l’intersyndicale (SGEN CFDT, CGT FERC Sup), à destination des personnels de l’université

Cliquer sur les images pour les agrandir

Chacun.e pourra constater par lui-même ou par elle-même que les critiques formulées sur le mur ne relèvent pas d’attaques personnelles mais traduisent plutôt l’ironie du désespoir. Elles mettent en cause une politique qui est à la fois absurde et brutale, et qui se double d’un effort sans précédent pour verrouiller l’information. Nous nous opposons à la politique actuelle, dont le seul but est de contenir ou de faire baisser la masse salariale. On voit déjà les effets désastreux de l’annonce qui a été faite à une cinquantaine de personnels en CDD que leur contrat ne serait pas renouvelé, alors qu’une bonne partie d’entre eux sont employés sur des fonctions pérennes. La prochaine campagne d’emplois et les restructurations en cours ne font que déshabiller Pierre pour habiller – provisoirement – Paul. La non-consultation des collègues concernés, la mise à l’écart des instances élues, les injonctions au silence et les attaques contre les syndicats sont devenues systématiques.

Si le ton ou le style des textes postés sur le Mur des congédiés déplaisent à la direction de l’université, ils révèlent surtout de façon très concrète que la politique en cours désorganise le travail, dégrade la qualité du service rendu aux étudiants, crée de la souffrance au travail et démoralise les collègues. 

Passer par la voie judiciaire face à la critique, au lieu de veiller à maintenir le dialogue social dans un souci d’apaisement de la communauté universitaire soulignerait l’incapacité de cette présidence à garantir un environnement de travail respectueux des espaces délibératifs.

C’est cela qui devrait retenir l’attention de notre président, qui, rappelons-le, a été élu pour représenter l’ensemble de ses collègues ».

Le SGEN-CFDT pour l’intersyndicale SGEN-CFDT et CGT-FERC SUP

De son côté, la CGT FERC SUP des établissements d’Enseignement supérieur et de Recherche a répondu à la sollicitation de l’université Sorbonne-Nouvelle : lettre au Président de l’université, copie à la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Commentaires fermés sur Paris 3. Le mur des congédiés

Classé dans AA. Universités : billets d'humeur, C. Ile-de-France

Annuler les comités de suivi de thèse

Université de Lorraine. 1. Courriel d’Emmanuel JOVELIN, directeur, et Bernard BALZANI pour les membres du conseil du Laboratoire Lorrain des Sciences Sociales (2L2S), 8 avril 2020.

à l’attention de Madame la Vice Présidente, Clotilde Boulanger

Suite à votre message adressé aux doctorant-e-s de façon unilatérale concernant le maintien des Comités de Suivi de Thèse dans un calendrier inchangé, nous tenons à ajouter notre réaction dans les suites de la lettre ouverte de la section SNESUP et de l’Unité de recherche des Archives Poincaré, auquel nous ajoutons le mail des doctorant-e-s du 2L2S (mail ci-dessous, point 2 de la chronique) qui s’indignent et s’inquiètent du maintien d’un tel calendrier, qui omet complètement la situation difficile que nous traversons.

Annulation des Comités de Suivi de Thèse.L’ensemble du 2L2S soutient largement les revendications de nos collègues ainsi que celles de nos doctorant-e-s de ne pas maintenir les CST pendant la période de confinement, pendant la période de déconfinement, ni pendant les vacances, ni à la rentrée des vacances.

Dans ce contexte exceptionnel, nous demandons l’annulation des CST, sauf sur demande du doctorant ou de la doctorante, et que le droit à se réinscrire pour l’année universitaire 2020-2021 soit automatique.

Report de la sélection des contrats doctoraux. Nous trouvons également illogique la décision du conseil de l’ED SLTC du 26 mars dernier ainsi que celle de l’ED HN, de maintenir le calendrier de recrutement des Contrats Doctoraux 2020. La période à venir n’est absolument pas propice à un tel maintien.

Il est indispensable de reporter ces calendriers dans un tel contexte, où les étudiants voient leur formation perturbée et rendue difficile : ils ne pourront pas préparer leur candidature ni au plan scientifique, ni au plan administratif dans des conditions suffisantes, tout comme les  enseignants-chercheurs ne pourront pas préparer les sujets et participer avec sérénité et efficacité aux différentes étapes du processus.

Non, ce n’est pas une question d’allègement des agendas ni une « occasion » de ne pas exercer nos missions comme vous l’avez sous-entendu. Nous demandons donc un report de la sélection des contrats doctoraux à une date ultérieure.

Commentaires fermés sur Annuler les comités de suivi de thèse

Classé dans C. Grand-Est (Alsace Lorraine Champagne-Ardenne), E. Sciences humaines et sociales

Pas de viatique pour les vacataires

Vademecum du MESRI : pas de viatique pour les vacataires

Suite de la chronique : Payer les vacataires du SUP !

« Le vademecum rendu public le 30 mars par le MESRI et qui doit servir de guide pour les établissements stipule que, dans le cas des chargé·es d’enseignement vacataires (CEV) peu d’heures auront été effectivement réalisées depuis la date de fermeture des établissements et l’absence de service fait doit conduire à ne pas verser de rémunération. Le document minore à 100 000 le nombre des CEV qui dépasse en fait 120 000. Il veut faire oublier que dans les faits nombre de CEV sont en situation précaire, les vacations représentant une part importante de leurs revenus. Il passe enfin à la trappe le travail que ces CEV ont déjà effectué pour la préparation de leurs enseignements dans le cadre de leur embauche ».

Commentaire d’un professeur dont des chargés d’enseignement vacataires sont concernés : une langue de bois un brin hypocrite… Concrètement leur paiement dépendra du bon vouloir des présidents… et des administrations locales décidées à faire ou non du zèle !

Commentaires fermés sur Pas de viatique pour les vacataires

Classé dans Non classé

Payer les vacataires du SUP !

Enseignement supérieur : paiement des vacataires, communiqué de presse du SNESUP FSU, 1 avril 2020. A noter que, ce 3 avril 2020, le Vademecum, mentionné au paragraphe 2, est introuvable sur le site du MESRI. Je suis preneur pour le mettre en ligne.

Il n’aura pas fallu attendre bien longtemps pour que les déclarations solennelles d’Emmanuel Macron affirmant que « l’État prendra en charge l’indemnisation des salariés contraints à rester chez eux » soient démenties, dans le domaine de l’enseignement supérieur, par le ministère lui-même.

En effet, le vademecum rendu public le 30 mars par le MESRI et qui doit servir de guide pour les établissements stipule que, dans le cas des chargé·es d’enseignement vacataires (CEV) « peu d’heures auront été effectivement réalisées depuis la date de fermeture des établissements » et « l’absence de service fait doit conduire à ne pas verser de rémunération ». Le document minore à 100 000 le nombre des CEV qui dépasse en fait 120 000*. Il veut faire oublier que dans les faits nombre de CEV sont en situation précaire, les vacations représentant une part importante de leurs revenus. Il passe enfin à la trappe le travail que ces CEV ont déjà effectué pour la préparation de leurs enseignements dans le cadre de leur embauche.

Le SNESUP-FSU s’insurge contre cette interprétation abusive consistant à considérer que, pour les personnels titulaires, la continuité pédagogique suppose que les services sont faits ce qui ne serait pas le cas a priori pour les vacataires. Dans son vademecum, le ministère revient d’ailleurs en partie sur les garanties qu’il affichait quelques jours plus tôt dans sa rubrique de « foire aux questions » au sujet des agents temporaires vacataires (ATV), essentiellement des doctorant·es.

Le SNESUP-FSU demande donc au ministère de prendre des dispositions protectrices en lieu et place de cette communication qui aurait comme conséquence de faire porter le poids de la crise sanitaire essentiellement sur les plus précaires des enseignant·es de l’université alors qu’ils contribuent pour une part importante au fonctionnement des formations, assurant dans certaines d’entre elles plus de la moitié du volume horaire.

Commentaires fermés sur Payer les vacataires du SUP !

Classé dans Non classé

Université et Recherche à l’arrêt

Suite de la chronique d’Histoires d’universités, 5 mars, l’université de Strasbourg s’arrête

Pourquoi l’université s’arrête ? 5 mars 2020, blog Pascal Maillard. En ce 5 mars 2020 les facs et labos en lutte contre la Loi de précarisation et de privatisation de la recherche (LPPR) ont décidé de s’arrêter. Proposition d’un billet participatif pour en expliquer les raisons.

Rue 89 Strasbourg, 6 mars 2020

Commentaires fermés sur Université et Recherche à l’arrêt

Classé dans Non classé

5 mars, l’UNISTRA s’arrête

Évènements du 5 mars 2020, sur les différents campus (2 pages)

Assemblée Générale le 4 mars 2020. Motion des personnels et étudiants de l’Université de Strasbourg : les revendications.

Les projets de loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), de la réforme de la formation des enseignants et de la retraite à points font système et constituent une même politique. Cette politique s’inscrit dans une logique de démantèlement du Service public pour toutes et tous et dans un modèle de société inégalitaire.

Dans ce contexte, les personnels et étudiants de l’Université de Strasbourg :

dénoncent la précarité et la précarisation des étudiants et des salariés de la fonction publique et du secteur privé.

demandent le retrait de la réforme des retraites.

demandent le retrait des projets de réformes dans l’ESR :

  • Retrait de la Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR)
  • Retrait du projet de réforme des masters MEEF Métiers de l’Enseignement, de l’Éducation et de la Formation (1er degré et 2nd degré)
  • et des concours auxquels ces masters préparent (le Concours de Recrutement de Professeur des Écoles CRPE et le Certificat d’Aptitude au Professorat de l’Enseignement du Second degré, CAPES)

Commentaires fermés sur 5 mars, l’UNISTRA s’arrête

Classé dans C. Grand-Est (Alsace Lorraine Champagne-Ardenne)

Grèves à Toulouse Jean Jaurés

Université Toulouse Jean Jaurès, Préavis de grève du 24 février au 22 mars 2020, du 2 au 31 mars 2020,

25 janvier 2020. Grève des notes des chargé.e.s de cours du département Histoire de l’Art et Archéologie,

Nous souhaitons aborder le problème des conditions de travail des chargé.e.s de cours. Au niveau national, le recours de plus en plus important aux chargé.e.s de cours pour assurer les enseignements est un des symptômes de la précarisation de l’enseignement supérieur.

Lors de la dernière assemblée générale du département Histoire de l’Art et Archéologie (janvier 2019), un bilan faisait état de 157 chargé.e.s de cours qui assuraient « pratiquement la moitié des enseignements » et jusqu’à 2/3 des enseignements de Licence 1 pour l’année 2018/2019. Depuis bien trop d’années, l’Université est dépendante des chargé.e.s de cours qui assurent l’essentiel des enseignements…

28 janvier 2020. Grèves des précaires du Mirail

Avec les réformes de la retraite et du chômage, mais aussi avec la Loi Pluriannuelle de Programmation de la Recherche (LPPR) à venir qui concernent les étudiant.e.s et tout le personnel des universités, titulaire ou non, le projet du gouvernement est de continuer à précariser tout le monde du berceau au tombeau !

Commentaires fermés sur Grèves à Toulouse Jean Jaurés

Classé dans C. Occitanie (Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon), E. Arts Lettres Langues, E. Sciences humaines et sociales

Université en Lutte. AG et Manif

Strasbourg, 20 février 2020, Assemblée générale et Manifestation Université en Lutte

  • Non à la précarité dans l’Enseignement supérieur et la Recherche
  • Non à la LPPR
  • Non à la réforme des retraites.

10ème manifestation contre le projet de réforme des retraites. Cette fois, c’est l’Université en Lutte qui est en tête du cortège : album de 15 photos. Autre album: 26 photos (CGT et FSU).

Photos des 5 manifestations précédentes.

Lire aussi Rue 89 Strasbourg, 20 février 2020. Chercheurs et enseignants se mobilisent contre une future « précarité institutionnalisée » à l’Université

« Depuis le début de l’année 2020, les personnels de l’enseignement supérieur et de la recherche se mobilisent en amont de la future loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR). Ils dénoncent un financement insuffisant de la recherche publique et un recours croissant à la contractualisation des effectifs »…

Commentaires fermés sur Université en Lutte. AG et Manif

Classé dans C. Grand-Est (Alsace Lorraine Champagne-Ardenne), Non classé