18 janvier 2019. Demande du collectif de chercheurs RogueEsr, pourtant soutenue par une large pétition : rétablir 50 des 300 postes supprimés au CNRS. Cette demande modeste, raisonnable n’est pas entendue (chronique d’Histoires d’universités)
1 février 2019. Le premier ministre annonce une loi de programmation pluriannuelle de la recherche : elle sera présentée au Parlement au début 2020, pour une entrée en application début 2021.
- Édouard Philippe. Je suis heureux d’annoncer que nous engageons aujourd’hui la définition d’un nouveau cadre pluriannuel pour la recherche, avec un objectif très simple : redonner à la recherche de la visibilité, de la liberté, et des moyens.
Trois enjeux majeurs de cette loi (dossier de presse, 16 pages)
- Renforcer la capacité de financement des projets, programmes et laboratoires de recherche.
- Conforter et renforcer l’attractivité des emplois et des carrières scientifiques pour continuer à accueillir les plus grands talents nationaux et internationaux.
- Consolider la recherche partenariale et le modèle d’innovation français en amplifiant les retombées concrètes générées par la collaboration avec la recherche publique.
De qui se moque-t-on ? Début 2021 = une promesse pour la Saint-Glinglin
Le collectif RogueESR n’est pas dupe et publie un nouveau communiqué, ce 1er février : Politique de recherche : Business as usual
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