Critique des COMUE franciliennes

Les universités parisiennes dans la tourmente des regroupements, par Myriam Baron & Loïc Vadelorge, Métropolitiques, 25 février 2015. Signalement par Michel Abhervé.

Depuis 2006, les regroupements d’universités et d’établissements sont monnaie courante. Myriam Baron et Loïc Vadelorge défendent l’idée que, au sein de l’agglomération parisienne, les Comue sont inadaptées aux pratiques des étudiants et des enseignants, et reposent sur de nombreuses incohérences territoriales.

Septembre 2014, quatre grandes écoles incitées à se regrouper dans une communauté d’universités et d’établissements (Comue) intitulée heSam Université (Hautes Études – Sorbonne – Arts et Métiers) claquent la porte.

Le 21 octobre 2014, le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER) rejette les projets de Comue de Paris-Est, de Paris-Seine, de l’Institut polytechnique de Paris et ne valide pas la Comue Paris-Lumières.

Ces réactions de blocages rappellent combien la politique publique de regroupements d’universités et de grandes écoles, initiée par la loi de programme pour la recherche du 18 avril 2006, peut être artificielle. Communautés virtuelles sans histoires communes, les huit Comue franciliennes renvoient à des regroupements territoriaux problématiquesLire la suite…

Depuis janvier 2009, 140 chroniques d’Histoires d’universités sur les COMUE, regroupements à marche forcée des universités et des établissements.

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