Actu Côté Toulouse, 6 octobre 2016, Gels de postes, déficit en millions, ventes de biens : l’université Paul-Sabatier sur la pente raide
Après l’Assemblée générale du 28 septembre, validant des gels de postes et la résorption du déficit, le président de Paul-Sabatier est revenu sur les raisons de la crise.
Côté pile, l’université Paul-Sabatier, c’est une hausse continue de ces étudiants (31 238 l’an passé, près de 35 000 en 2016-2017) et des filières scientifiques et de santé qui n’en finissent pas d’attirer (par exemple, une progression de 18,6% pour ceux qui ont opté pour une première année de Licence en Sciences).
Côté face, la fac du nom du prix Nobel de chimie de 1912 vit une crise sans précédent. Mercredi 28 septembre 2016, le conseil d’administration de Paul-Sabatier votait le Pacte de développement de l’université, qui prévoit notamment le gel de postes (la « mise en réserve de la majorité des postes vacants » selon les termes exacts du Pacte) et des mesures pour « combler notre dérive de masse salariale ». Entraînant, de fait, une mobilisation des étudiants et des personnels, craignant pour leur avenir, et une tension dans les UFR et les services.
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Le point en trois questions de la situation alarmante – mais complexe – de l’un des deux universités toulousaines (avec la Toulouse School of Economics) à figurer dans le Top 300 des meilleures universités du classement de Shanghai 2016. Lire la suite…
Pour aller plus loin : toutes les chroniques du blog sur Toulouse 3 Paul Sabatier, sur l’ancien président de l’université, Bertrand Monthubert, sur la COMUE Toulouse Université Fédérale.
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